En partant des bilans faits par les stagiaires enseignants à l’issue de leurs Formations, l’auteure dégage 3 points forts : premièrement, la Gestion mentale est une théorie argumentée que le stagiaire peut retrouver dans des ouvrages. Le formateur n’est donc pas un gourou qui parlerait en son nom propre. Deuxièmement, un stage en GM a une efficacité immédiate puisqu’il repose non seulement sur une théorie mais des exercices pratiqués ensembles et qui permettent de dégager des protocoles transférables en classe. Troisièmement, il y a une cohérence entre l’annonce théorique et pratique et l’approche des stagiaires pratiquée par le formateur. Cela rend son apport d’autant plus crédible et acceptable. L’auteur souligne combien la découverte de la GM permet, à celui qui la pratique, de changer son regard sur l’acte de connaissance, en découvrant que chacun, enseignant et élève, a sa part, « à égalité », dans la pratique de cet acte. Et cela modifie profondément la pratique pédagogique. |